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FORSE VENTO
PEUT-ÊTRE LE VENT

Andrea Poncioni

«Ces poèmes, de forme brève, saisissent sur un rythme vif des moments de vie dans une langue qui émeut et amuse. Évoquant l’amour et le désir, célébrant la vitalité de la nature et de ses créatures, le recueil Forse vento / Peut-être le vent raconte aussi l’enfance, le passage du temps et le présent. Comme dans une mosaïque, les poèmes mêlent par petites touches, humour et gravité, sensations et émotions, beauté et trivialité du quotidien dans un même mouvement jubilatoire.»

Présentation de Sara Privat

Né en 1955, Andrea Poncioni écrit dans sa langue natale, l’italien, depuis plus de 50 ans. C’est la rencontre avec le poète Daniele Morresi, auquel il confie ses poèmes, qui lui donne l’envie de partager ce qui était resté intime pendant des années. Après une vie marquée par l’engagement social et le travail dans le monde de la santé, l’ancien directeur de maisons de retraite se consacre aujourd’hui pleinement à la poésie.

La Casa del Tè

LA CASA DEL TÉ
LA MAISON DE THÉ

Daniele Morresi

«La maison de thé est à la fois peuplée et solitaire, fermée et ouverte, dépouillée et ornée, mélodieuse et silencieuse, plantée dans le présent et hors du temps. On y célèbre le mystère du quotidien, l'ébullition de l'eau et le partage d'une boisson. Dans la maison de thé, on prête attention à l'attention, avec l'essentialité de tous les rituels qui s'expliquent en les vivant et qui échappent aux explications rationnelles, prétentieuses et rhétoriques. 
Le poète nous attend à l'entrée. Sa poésie est une main tendue, un geste simple qui signifie des choses profondes: un salut, une exhortation, un souhait, une indication, un doute. Le poète nous demande d'être présents à nous-mêmes en lisant ses mots qui, dans son long dialogue avec le présent, se sont faits peu nombreux et nécessaires.»
Extrait de l’avant-propos de Matteo Pedroni

Né en 1970 à Massagno dans le canton du Tessin, Daniele Morresi arrive à Genève, où il enseigne l’italien à l’École internationale de Genève depuis 2003. À côté de l’enseignement, il a publié aux Éditions Samizdat les recueils bilingues I dolci di Baghdad / Les douceurs de Bagdad en 2015 et In un giardino dipinto / En un jardin peint en 2017, traduit en français par son collègue et ami Luc Hamzavi. Aux Éditions Notari est apparu son recueil d’inscriptions publiques Ready-made Genève / Poèmes en 2021. En collaboration avec les poètes Cesare Mongodi et Andrea Poncioni, Morresi a fondé en 2023 l’Association et maison d’édition Pinkopalino pour la promotion de la poésie contemporaine en Romandie.

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REQUIEM POUR UNE CIGARETTE

Iris Mizrahi

La forme brève de la prose. Forme condensée, ciselée, elle est en fait une variation de la composition poétique plutôt qu’un genre mineur dans la gamme des textes en prose. Ce bref récit pétillant d’humour et de génie, tout grâce et poésie, léger comme une hirondelle et profond, mine de rien, comme un océan, est une méditation sur l’entrelacement de la vie et de la mort, du plaisir et de la fragilité de l’être, une réflexion autour de l’écriture, du temps, du clinamen de Démocrite (je le dis comme cela parce que le De rerum natura de Lucrèce est pour moi l’une des références poétiques et philosophiques essentielles). Désormais, je préfère de loin Requiem pour une cigarette d’Iris Mizrahi à Sein und Zeit de Heidegger, un ouvrage qui m’est cher, mais exagérément difficile à lire !

Extrait de l'avant-propos de Alessandra Lukinovich

Née en 1969 à Jérusalem, Iris Mizrahi grandit à Genève et se passionne pour le dessin, l’écriture et la photographie. Elle revient dans sa ville natale pour y étudier aux Beaux-Arts, y met au monde ses deux enfants puis, après dix années intenses, ramène son petit monde à Genève où il fait quand même mieux vivre. En parallèle de ses projets photographiques, elle traduit de l’hébreu en français pour les Éditions Labor et Fides et publie à compte d’auteur quelques romans d’autofiction. À la faveur d’une rencontre avec Alessandra Lukinovich, le récit poétique Requiem pour une cigarette, initialement écrit pour une lecture unique, est publié dans la collection « Les billes » des Éditions Pinkopalino. Iris Mizrahi est rédactrice au DIP depuis près de 20 ans.

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GRAFFITI SOTTO LA PELLE
GRAFFITI SOUS LA PEAU

Cesare Mongodi

A paraître

2025 © Pinkopalino

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